Rien de tel qu’on changement temporaire de cadre de vie pour porter un regard neuf sur notre environnement quotidien ! Cela fait maintenant 8 ans que je vous avais décrit les travaux dans ma chambre vendéenne… et 8 ans que je n’avais pas pris le temps de vous montrer le résultat ! Entre temps, j’ai choisi une jolie tête de lit, sans me précipiter, car j’aime habiter les pièces avant de compléter leur aménagement et leur décoration.

Commencez donc par relire les 2 articles précédents…

… et découvrez cette chambre à la fois fraîche et douillette dont je pense que je ne me lasserai pas facilement !

Les couleurs de la chambre ont été choisies tout exprès pour s’assortir à ce tableau à la gouache et le mettre en valeur. Le plafond en frisette de pin, typique des années 70, a été conservé par affection familiale (honneur à ceux qui l’ont posé et vernis avec amour) mais éclairé par des couleurs douces.

Tête de lit en rotin (modèle « Atilan » de Drawer) contre mur peint en bleu orage (Little Greene coloris « Juniper Ash »)

     Oreiller et jeté de lit Alexandre Turpault (doux, doux, doux…), housse de couettes à fines rayures bleues « Blavinda » Ikea.

Coussin à message « L’effet mer, Les Sables d’Olonne » STOF

Papier peint des autres murs à carreaux verts sur fond blanc (rouleaux Lutèce achetés en magasin de déstockage Noz), rideaux rayés bleu et vert, Toiles de Mayenne (le merveilleux savoir-faire français).

Les meubles anciens en bois plutôt foncé (table de toilette, table de chevet, table et chaises couvertes de velours bleu) proviennent de brocantes ou d’héritages familiaux. La tête de lit en rotin clair s’accorde avec l’abat-jour en lattes de bambou.

Et le plus beau des tableaux avec pour cadre des rideaux qui tamisent la lumière… la vue sur la nature par la fenêtre !

Et si vous relisiez « C’est quoi une déco moche » ?

Que pensez-vous de l’association des différents motifs ? Dans cette chambre, on trouve des rayures de plusieurs largeurs (sur les rideaux et la housse de couette), des carreaux (sur les murs tapissés et le revers des dossiers de chaises) et des arabesques aux motifs d’indiennes (jeté de lit et oreiller)… Ce pourrait être très chargé, voire tout à fait dissonant, mais l’harmonie se fait par les couleurs, limitées à deux et utilisées dans des déclinaisons subtiles, non agressives à l’oeil. Le résultat vous plaît-il ?

Une nouvelle page de ce site internet est consacrée à mon livre « Jeanne l’Alsacienne » : pour y accéder, cliquez au bas de chaque page, juste au-dessus des vignettes réseaux sociaux !